Un matin comme les autres, l'autrice se prépare à emmener son fils à l'école lorsqu'elle perd soudainement l'enfant qu'elle attendait. Pour surmonter sa peine, elle lance un cri de douleur et d'amour dans son récit, afin d'ostraciser l'injustice, l'absurde et la sidération qu'elle ressent.
In der Mitte eines Teiches sitzen zwei Frösche auf einem Seerosenblatt. Einer hält einen Stock in der Hand. "Wozu soll der gut sein?", fragt der andere. "Zu unserem Schutz", sagt der Frosch mit dem Stock.